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mardi, 23 septembre 2008

Nouveau Centre : 1 an d'actions

dimanche, 21 septembre 2008

Financement du RSA : un amendement du Nouveau Centre

François Sauvadet, président du groupe Nouveau Centre à l’Assemblée nationale et les députés du groupe se félicitent de l’adoption d’un amendement dont le Nouveau Centre est à l’origine avec les travaux de Charles de Courson, député de la Marne, Philippe Vigier, député d’Eure-et-Loir, et Nicolas Perruchot, député du Loir-et-Cher, visant à mettre en place un mécanisme de plafonnement global des niches fiscales dans le cadre de la prochaine loi de finances.

Le financement du RSA doit être partagé par tous. Ce plafonnement revient à la création d’un impôt minimum, idée qu’a toujours défendu le Nouveau Centre (projet de loi TEPA, loi de finances 2008). Désormais, aucun contribuable ne pourra échapper au paiement de l’impôt par des mécanismes fiscaux tant décriés aux yeux des Français. François Sauvadet se félicite que l’initiative du Nouveau Centre en matière de niches fiscales est suscité une vraie adhésion chez les parlementaires de la majorité.

vendredi, 12 septembre 2008

Quelques images de nos universités d'été...

vendredi, 25 juillet 2008

Barack Obama : le discours de Berlin

C'était hier soir à Berlin. Dans un discours devant 200 000 personnes, le sénateur de l'Illinois a demandé au Vieux Continent d'aider l'Amérique à lutter contre le terrorisme... Video et texte du discours.

"A World That Stands as One"

Berlin, Germany
July 24th, 2008

Thank you to the citizens of Berlin and to the people of Germany. Let me thank Chancellor Merkel and Foreign Minister Steinmeier for welcoming me earlier today. Thank you Mayor Wowereit, the Berlin Senate, the police, and most of all thank you for this welcome.

I come to Berlin as so many of my countrymen have come before. Tonight, I speak to you not as a candidate for President, but as a citizen – a proud citizen of the United States, and a fellow citizen of the world.

I know that I don’t look like the Americans who’ve previously spoken in this great city. The journey that led me here is improbable. My mother was born in the heartland of America, but my father grew up herding goats in Kenya. His father – my grandfather – was a cook, a domestic servant to the British.

At the height of the Cold War, my father decided, like so many others in the forgotten corners of the world, that his yearning – his dream – required the freedom and opportunity promised by the West. And so he wrote letter after letter to universities all across America until somebody, somewhere answered his prayer for a better life.

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lundi, 14 juillet 2008

Conseil de quartier : une nouvelle responsabilité

Le tirage au sort m'aura donc été favorable à deux reprises. Une première fois en tant que titulaire du Conseil de quartier Jean Moulin - Porte d'Orléans (collège habitants); une deuxième fois en tant que membre du bureau de ce même conseil.

Je serai ainsi très heureux de pouvoir m'investir au sein de ce Conseil pour un quartier où j'habite depuis ma plus tendre enfance. Je ne manquerai pas de vous informer sur le dossier de la "petite gare de la Petite Ceinture", un dossier très important pour la qualité de vie des habitants du quartier porte d'Orléans - notamment sur les rues de Coulmiers, villa Virginie, entrée de la rue Sarrette, rue Beaunier, rue Poirier de Narçay, rue Friant... - mais également pour un commerce de proximité toujours en difficulté dans notre quartier et en mal de projet(s) visant à le dynamiser.

Et dès maintenant, si vous souhaitez me faire part de votre avis quant à l'avenir de cette petite gare, vous êtes sur un blog, vous avez la parole. 

lundi, 16 juin 2008

Hervé Morin : "Prenons une défense d'avance"

Le Ministre de la Défense (Nouveau Centre) publie ce jour une tribune relative à la sortie du "livre blanc sur la défense nationale " dans le quotidien le Monde...

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J'ai la plus grande admiration pour l'armée française, en particulier la capacité d'adaptation dont elle a fait preuve dans son histoire récente, en mettant en œuvre la professionnalisation. Mais aujourd'hui comme hier, elle se heurte à tous les conservatismes. Les responsables du ministère savent bien que la résistance au changement se situe le plus souvent à l'extérieur de l'institution militaire.

L'histoire serait-elle un éternel recommencement ? Notre défense s'est adaptée au cours de ces dernières années, elle doit continuer à le faire. Avons-nous d'autre choix que celui de bouger, de poursuivre l'adaptation de notre outil de défense, même si tous les conservateurs nous expliquent qu'il ne faut rien changer ? Ils étaient les mêmes à s'opposer à la professionnalisation; les mêmes à considérer lors du Livre blanc de 1994 qu'il était trop tôt pour tirer les conséquences de la chute du mur de Berlin; les mêmes à estimer que l'armée de terre allait s'effondrer lorsque le général de Gaulle décida de la réduire de moitié après la guerre d'Algérie, tout en lançant résolument la dissuasion.

Pourtant, notre pays a connu il y a soixante-huit ans l'une des pires humiliations de son histoire en préparant la guerre d'avant. Nous avons été enfoncés en quelques semaines en 1940, parce que la France bâtissait la ligne Maginot tandis que depuis 1934 le général de Gaulle expliquait sans relâche qu'on se trompait de guerre et que la prochaine serait une guerre de mouvement.

Engoncé dans ses certitudes et tout en consacrant 3 % de son PIB à sa défense, notre pays a connu de terribles désillusions lorsque la guerre du Golfe a éclaté en 1991. Péniblement, l'armée de terre a pu projeter 12 000 hommes (sur un effectif total de 300 000 !) ; nos avions Jaguar étaient impuissants dès que la nuit tombait et seuls quelques hélicoptères Gazelle étaient équipés d'un système de vision nocturne !

Et que dire de notre interopérabilité limitée avec les alliés ou de notre porte-avions transformé en porte-camions pour pallier nos capacités de transports défaillantes ? La comparaison avec les Britanniques fut cruelle, et nous en avons tiré des conséquences – la professionnalisation en était une, comme l'effort sur les moyens de projection.

Il ne faudrait pas bouger, alors que nos contrats opérationnels – c'est-à-dire ce que l'armée française doit être en mesure d'engager à la demande du président de la République – sont à la fois inatteignables et que leur pertinence est sujette à caution ? Quel est le sens d'un contrat qui demande à l'armée de terre de projeter 50 000 hommes en un an sur un théâtre centre-européen ? Contre qui ? Le pacte de Varsovie a disparu, et l'OTAN va jusqu'aux portes de la Russie; aucun Etat menaçant n'est susceptible d'envahir le territoire français.

Peut-on parler de dégradation quand le contrat opérationnel, arbitré par le président de la République pour l'armée de terre, prévoit une capacité de projeter 30 000 hommes en six mois – donc avec plus de réactivité – sur un arc de crise allant de la Mauritanie à l'Afghanistan ? Rappelons-nous que, depuis Suez, nous n'avons jamais projeté 30 000 hommes hors de France et que nous n'envisageons une intervention majeure qu'au sein de l'Alliance ou en coalition.

60 % DES RESSOURCES HUMAINES CONSACRÉES À L'ADMINISTRATION ET AU SOUTIEN

Si on y ajoute, dans le même contrat, une capacité supplémentaire de projeter 5 000 hommes sur un autre théâtre et celle de déployer 10 000 hommes sur le théâtre national au titre de la défense du territoire, faut-il avoir peur d'un déclassement militaire ? Certainement pas, lorsque nous affirmons dans le même temps notre capacité d'être une nation cadre dans une opération et d'entrer en premier sur un théâtre majeur.

Il ne faudrait pas bouger, alors que – même si les comparaisons sont toujours difficiles à effectuer – 60 % de nos ressources humaines sont consacrées à l'administration générale et au soutien, certes nécessaires, et 40 % aux forces opérationnelles ? Nos amis britanniques, dont l'armée est la seule à laquelle nous puissions nous comparer, ont un ratio au moins inverse : 60 % pour l'opérationnel, 40 % pour l'administration générale et le soutien.

Avec la professionnalisation, l'armée française a accompli un immense effort sur ses forces opérationnelles; il lui faut désormais faire ce même effort sur la structure, encore trop organisée selon des schémas hérités du XXe siècle, où l'on duplique encore trop les mêmes fonctions dans chaque armée.

Il ne faudrait pas bouger, alors que nos implantations militaires, trop dispersées, se situent sur plus de 450 communes, que leur éparpillement génère un coût de soutien considérable et que leur lieu de stationnement est parfois très éloigné de leur lieu d'exercice ? Il ne faudrait pas bouger alors qu'un conducteur de char dispose aujourd'hui d'un potentiel de 2 heures par semaine, 10 heures par mois, 120 heures par an; et que 120 d'entre eux sont "sous cocon" ?

Oui, vous avez bien lu, dans un régiment de chars Leclerc, on met le moteur en route deux heures par semaine en moyenne. Les simulateurs ne répondent pas à tout pour former un équipage ! Difficile, dès lors, de fidéliser nos militaires dans les régiments de chars !

Il ne faudrait pas bouger, alors que nous avons besoin de dégager des marges de manœuvre pour l'équipement de nos forces, dont la totalité des programmes lancés à juste titre par le président Chirac, sont en cours de renouvellement. Certains de nos équipements sont usés jusqu'à la corde – hélicoptères Puma, avions Transall… –, nos bateaux ont près de 21 ans d'âge en moyenne et il nous faudra 2 milliards d'euros supplémentaires pour financer les livraisons à venir.

Il nous aurait fallu la bagatelle de 5 milliards d'euros supplémentaires à partir de 2011 si nous avions laissé les choses en l'état ! Qui peut croire un seul instant que nos concitoyens soient prêts à accepter que la totalité des ressources budgétaires nouvelles du pays liées à la croissance soient affectées à notre défense, alors que les besoins du pays sont énormes dans tous les secteurs ?

Oui, il nous faut continuer à adapter notre défense au monde qui bouge. Le monde change très vite; notre outil militaire doit s'adapter à la globalisation et aux nouvelles menaces. C'est une évidence qu'il nous faut sans cesse rappeler. Nous avons besoin de favoriser l'infanterie, l'aéromobilité avec les hélicoptères de transport et la protection du soldat, notamment en zone urbaine grâce au Véhicule blindé de combat d'infanterie (VBCI).

BOUGER, S'ADAPTER, C'EST LE PRIX À PAYER

Nous avons besoin de plus de moyens d'observation pour anticiper les crises et connaître précisément les menaces; nous avons besoin de moyens de renseignement pour lutter contre le terrorisme, qui étrangement rend le cœur de nos cités beaucoup plus vulnérable que du temps de la guerre froide. Nous avons besoin de nous prémunir contre les cyberattaques qui pourraient désorganiser le système informatique de notre pays, et par là des installations vitales comme nos hôpitaux.

Nous avons besoin d'adapter notre système de dissuasion à l'évolution des centres de gravité du monde, au risque – tangible – de la prolifération nucléaire de pays qui peuvent dans quelques années disposer d'armes nucléaires, certes rustiques, mais néanmoins bien réelles !

Bouger, s'adapter, c'est le prix à payer; c'est le prix à payer pour le personnel de la défense qui a le sentiment d'avoir déjà beaucoup donné par rapport aux autres administrations. Mais c'est le prix à payer pour rester crédible. Un outil militaire qui ne s'adapte pas en permanence est un outil qui est menacé de ne pas répondre le jour venu à une crise majeure qui surviendrait. Ce serait d'ailleurs dommage de ne pas le faire, tant la qualité des femmes et des hommes qui servent notre défense est exceptionnelle, tant elle est reconnue dans le monde entier.

Nous le leur devons. Et c'est parce qu'ils sont meilleurs que les autres, que nous réussissons l'exploit de faire encore très bonne figure; mais ce que je sais au plus profond de moi-même, c'est que, si nous ne bougeons pas, nous courons le risque de graves désillusions dans dix ou quinze ans, alors que nous consacrons 37milliards d'euros à notre défense.

C'est un effort important pour la nation tout entière, environ 2 % de notre richesse nationale, d'autant que la décision du chef de l'Etat de laisser à la défense la totalité des économies qu'elle saura générer est une dérogation par rapport à toutes les administrations et nous met ainsi au rang des priorités gouvernementales. Par ce double arbitrage – ambition renouvelée, moyens consacrés à notre défense –, le président de la République a mis la défense au rang des priorités.

Les Français sont en droit d'attendre de nos armées l'assurance-vie et la protection que nous devons leur garantir. Cette responsabilité, nous l'assumons : nous construisons la défense de demain, nous préparons l'avenir de nos enfants. La France doit avoir une défense d'avance.

Hervé Morin, Ministre de la défense

vendredi, 13 juin 2008

Tours à Paris : pour un référendum

c2525a4d1e38fff1683510130bc88c3a.jpgLes Verts le réclament, le Nouveau Centre Paris 14e aussi !

La réflexion sur la nécessité de construire des tours à Paris doit faire l'objet d'un débat plus large associant tous les Parisiniennes et Parisiens. Dans ce cadre, la solution du Référendum, proposée par les Verts, est une excellente idée et le Nouveau Centre Paris 14 y souscrit pleinement ...sans doute pour dans un espoir inverse puisque nous sommes favorables au geste architectural et que nous espérons que le feu vert donné à la Tour Signal de Jean Nouvel aura permis d'ouvrir les esprits sur le sujet.

Nous proposions du reste dans notre programme municipal la création d'une tour mixte ateliers d'artistes / bureau / équipements de proximité jouxtant la Chaufferie de l'Hôpital Broussais dans le cadre de la reconversion d'un site important pour un quartier en mal de projets architecturaux forts et identifiants.

A cette occasion, nous proposons aux habitués de Facebook de rejoindre le groupe "Tours à Paris : pour un référendum" lancé à notre initiative.

lundi, 02 juin 2008

Hervé Morin rencontre des blogueurs

En marge du congrès de Nîmes des 16 et 17 mai 2008, quelques images d'une discussion à batons rompus entre Hervé Morin et quelques blogueurs...

mardi, 22 avril 2008

A propos des "Hypocrisies françaises"

mercredi, 16 avril 2008

Le projet 2008 - 2014 de Pierre Castagnou

Les paroles et les sites de campagne s'envolent, les écrits et les documents .pdf restent. C'est la raison pour laquelle nous avons souhaité conserver ici un exemplaire du projet 2008-2014 "Le 14e un Temps d'avance" de Pierre Castagnou en libre téléchargement. Nous pourrons ainsi, notamment lorsqu'annuellement Pierre Castagnou reprendra ses "bilans de mandature", refaire un point sur la base d'un document tangible et indiscutable ou bien pour interpeler son crédible successeur, Pascal Cherki.

En complément, nous vous proposons également le Projet pour Paris de Bertrand Delanoë dans sa version résumée (12 pages) et intégrale.

Paris, un temps d'avance ? A vérifier.