jeudi, 07 juillet 2011
Quelques grammes de finesse...
C'était une époque différente où les poètes chantaient, où ils faisaient salle comble... Le temps du music-hall. Mes jeunes années, Douce France, Que reste-t-il de nos amours ou dans un registre plus souriant Boum ou La porte du garage, romances immortelles portées par un "zazou", un fou chantant. Parmi elles, j'ai une affection particulière pour Le jardin extraordinaire, dont la poésie est un antidote souverain contre la morosité et réenchante le quotidien...
06:07 Publié dans Pierre Vallet | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : charles trenet le jardin extraordinaire, le jardin extraordinaire | Facebook | |